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ELLE RE-DÉBLOG

13 juillet 2007

@Arthi

Petite fille, il te reste un peu de poudre de chocolat, là, au coin de la bouche : je peux ?

bouche1

©

Arthi

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6 juillet 2007

L'écriture, le dessin, toute création, est une

couple_OM

L'écriture, le dessin, toute création, est une alchimie pour transmuter des états intérieurs en quelque chose de visible voire de vivable.

                                    © Lung Ta

29 juin 2007

pause blog

zr9jl4xw

Parce que j'ai été capable de transformer en défi

des malheurs qui isolent et annihilent,

j'ai été forcée d'apprendre

que les épreuves de la vie nous apportent un cadeau.

© Sylvie 

27 juin 2007

pittoresques rochers

rocher_h_DCP_5142         

rocher_f_DCP_5147Les pittoresques photos de mes pittoresques rochers ont généré il y a quelques jours le commentaire d’un qui depuis quelques temps veut absolument me coller sur son canapé

" Sont ils proches ? Quel rituel cela t'inspire-t-il ? " (non mais puis quoi encore ?? tu veux que je te raconte quoi hm???)

" C'est cela oui,

allongez vous sur le canapé
parlez moi de votre histoire

oui, comme ça
bon cela fera 80 euros la séance
" (en + faut que j‘le paie, bonjour la galanterie !!!! )

Et je ne parle pas du comm d’une certaine qui disait " C'est toi qui les a trouvé par hasard? Et après tu vas me dire que tu n'as pas l'esprit mal tourné????? Pfffffit!!!!! même une roche aussi froide soit-elle te ramène au sexe .... ! "

CE QUE LES GENS, PARFOIS, PEUVENT AVOIR L’ ESPRIT MAL PLACÉ !!

C’EST PÉTRIFIANT CA TOUT DE MÊME !!

Surtout que je ne vois vraiment pas ce qui a pu attirer ce genre d’insinuations….. Fffff vous êtes comme moi, hein ? Sidérés par tant d‘incompréhension ??

 

rocher2

Froide, une roche ??? tsstss tssss..

personne ici ne s’est donc jamais allongé sur un rocher, de préférence dans le plus simple appareil, caressé par la chaleur de l’astre solaire, bercé par le clapotis d’une rivière, ou mieux, d’une source, à écouter la chanson du vent dans les feuilles ?

Personne parmi vous ne ressent le besoin de toucher la surface rugueuse de ces merveilleux cadeaux de la nature, ou simplement de serrer des galets au creux de sa paume, pour sentir l’énergie incroyable qui s’en dégage?

caillou_d_Isa

© photo d'Isajolie

Personne ici n’a jamais serré des menhirs entre ses bras ??????????

menhirs_Camaret1

22 juin 2007

il arrive que des couples..

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Les amoureuses renoncent à une part d'elles-mêmes. C'est même à cela qu'on les reconnaît.
© Marie Madeleine

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Nés de ton silence,
l'absurde velouté
de naître du rien
entrevoir l'envers du décor,
d'une plume trempée dans le sans
©

YoyoStéréo™

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Chante, la main, chante vorace découvreuse à la conquête du lisse, du plat, de la pleine ouverture d’un dos.

 

Chante, la main, au toboggan de tes reins. Envole-toi !

© Arthi

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Il arrive que des couples se regardent
il arrive que des couples regardent dans la même direction
il arrive que des couples regardent de chaque côté, pour mieux protéger l'autre

Il arrive des Sextases
Il arrive des Extases

©

Lung Ta

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14 juin 2007

pause blog

Gredine_m_ditation

(cette photo extra vient de chez  GREDINE)

13 juin 2007

réelle virtualité

." Quand je trouve belle une fleur, je veux la presser sur mon cœur ou la manger. C’est plus difficile avec d’autres beautés naturelles, mais le sentiment est le même. Ce que je trouve beau, je le désire de façon beaucoup trop physique, aussi ai-je toujours cette sensation pénible de désir inextinguible. C’est le crépuscule; les couleurs tendres du ciel, les silhouettes mystérieuses des maisons, les arbres bien vivants, avec le réseau transparent de leurs branches, tout est admirable. Je ressens cette beauté au point d’en éprouver une douleur au cœur. Je me gave littéralement de la beauté du paysage et cela m’épuise. Je dépense une énergie infinie.(…) Même chose dans mes rapports avec S., avec tout le monde d’ailleurs. Pourtant ce n’est pas l’homme en lui que je désire, mais il me touche au plus profond de mon être, et c’est cela l’important"

Ces lignes décrivent parfaitement ma façon de ressentir, et si je les ai recopiées, c’est pour vous expliquer que parfois, la communication virtuelle engendre chez moi quelques frustrations. Non pas que je veuille tous vous manger !

Quoique.

Ce matin, je me réveillai fort affligée. Une question me tannait (N.B. pour Diane: pour suivre ce que tu lis sur mon blog - et pas pire, sur celui de Lung Ta qui fait exprès de tendre des flaques partout - il faut que tu t’entraines à inverser tous les mots. Ainsi, tu dirais : chu tannée par une question = à ctheure, chu toute pognée, j’a’l lfeu au Q, chu mal prise) oui, donc, je reprends :

une question me tannait : puisque ma réalité passe par la vue, le toucher, peut-on dire que mes relations virtuelles sont réelles ???

Et si les relations réelles étaient plus virtuelles que les virtuelles réellement réelles ? Ai-je seulement vécu réellement jusqu’à ce matin ? Et sinon, que veut dire précisément, vivre réellement ? La réalité ne serait-elle pas de vivre virtuellement ?

Et si, comme dit Dicky, la réalité n’était qu’une illusion, puisque " Tout est maintenant : la graine, la plante, le fruit. Demain est déjà arrivé, hier reviendra " ?????????

Purée. La confusion règne en maîtresse et dix mille liens m‘oppressent.

Néanmoins, à l’ordre de mon jour, prochain, plus tard, un de ces quatre, il y aura :

- la libre respiration

- et le détachement

En attendant, je me console avec le comm qu’a laissé chez Leia mon maître zen ( il n’aime pas être appelé comme çà, diantre, c’est qu’il n’est pas gourou !! Donc il risque de se fâcher très fort, ce qui prouve bien que les gourous sont des hommes comme vous et moi, - il va être obligé de travailler sur sa colère, et ce faisant, il m’en remerciera, tant il est vrai qu‘on n‘enseigne jamais si bien que ce qu’on a besoin d’apprendre)

Je cite le maître sus mentionné :

" On peut être dans de bons nombres d'addictions, le net, les jeux vidéo, l'alcool, la drogue, le jeu, (1)

mais aussi le travail, la sexualité

ou prendre des tas de chemins de fuite, comme l'art

(2)

Tout peut etre "virtuel" et "perte de la réalité"

ou outil d'exploration et de rencontre

(3)

Perdre ses illusions est la plus belle chose qui puisse nous arriver
si nous ne retombons pas dans d'autres

bon nombre de personnes qui les perdent, retombent dans une autre illusion égotique de souffrance dépressive

(4)

alors qu'après la nuit obscure de cette perte,

on peut enfin sentir qu'il n'y a rien sur lequel se reposer, que nous sommes pareil au courant de la rivière, à la feuille au vent

»(5)

© Lung Ta

(1) la sexualité, c’est bien comme addiction, c’est très très bien, non ?!

(2) l’art, un chemin de fuite ????? Où cours-tu, Crc ??

(3) j’aime bien certains outils d’exploration. Cette phrase gagnerait à être plus explicite, est-ce que tu pourrais développer, stp ??
(4) certain prétend que « ce que l’on appelle dépression nerveuse n’est rien d’autre qu’une soudaine surcapacité Empathique incontrôlée. C’est l’explication la plus logique à la surémotivité que suscite toute dépression. C’est aussi la preuve que Jésus-Christ était un grand dépressif. Et son destin funeste nous en dit long sur les thérapies utilisées dans le monde Antique ». Eh oui, encore Dicky.

(5) …et au chant de la source !!

Conclusion en une phrase :

vous n’avez pas fini d’en baver avec moi !!!

Posté par AMBRENEIGE à 17:12 - mes mots, mes maux - Commentaires [3] - Rétroliens [0] - Permalien [#]

Commentaires

Eh bien...

j'arrive sur ce blog et me voilà déjà à chercher un tas de réponse à ce que je viens de lire...

Merci d'avoir nagée sur ma mer de délires...Pour répondre à ta question sur mon blog : oui !!! je suis une ch'tite du pas de calais et fière de ma région.

Je reviendrai avec grand plaisir.

Posté par Laudith, 14 juin 2007 à 17:22

Une autre planète !

Moi je finis par savoir c'qui cloche.......
Y'a les bloguistes fous de "réalité" qui se demandent s'ils ne sont qu'une illusion..
Y'a les bloguistes qui en "rigolent" (jaune) mais qui se posent plein de questions existentielles..
Y'a les bloguistes qu'arrivent sur un blog (au hasard ?) et ils se demandent s'ils n'ont pas atterris sur une autre planète.;
Y'a les bloguistes très 'sérieux(ses)" qui vont se défouler un peu sur les blogs des nounounes
Y'a les autres (qui n'ont pas encore de blos) et qui hésitaient à en créer un mais depuis qu'ile en connaissent certains (je ne citerais pas de noms=, ils se questionnent sur la réalité de la toile...
Y'en a d'autres vraiment, mais alors vraiment trop intellectuels qui affirment que les bloguistes sont des nuls (j'en connais...)
Que voulais-je dire pour finir
Ah oui, il me semble que plus on est "intelligent" moins on est "humain". Les intellos perdent le sens de la réalité...
enfin certains, ne vous sentez pas forcément visés..
Bon, pour finir peut êre bien que mon com' n'a rien à voir avec le mess....ha ha ha !!
Zut y'a la cocotte qui sonne, faut que j'aille mettre l'oignon dans le poulet.....
Cherchez pas l'erreur !

Posté par Brie, 14 juin 2007 à 20:09

Oh secours, je veux mon APN !

C'est compliqué la vie, la réelle et la virtuelle qui, comme tu le dis si bien, n'est pas si virtuelle que ça. Quand les esprits se "touchent" est-il vraiment besoin que les corps en fassent autant ? Pas pour moi en tout cas.
Mais je viens de prendre conscience que j'ai une forte addiction et que j'ai donc encore du chemin à faire vers le détachement. Addiction terrifiante puisqu'elle ne fait aucun dégât collatéral, qu'elle n'a aucune incidence sur ma santé, ni sur celles des autres : une addiction apparemment inoffensive. Je crois que ce sont les pires, puisqu'on a aucune raison de s'en détacher. Et même pire, je crois que c'est une addiction qui est très bonne pour mon moral...Qu'est-ce que je fais, docteur ?

Posté par Grenouille de Bé, 15 juin 2007 à 08:40

© Etty Hillesum (Une vie bouleversée)

8 juin 2007

un peu de douceur .........

Dicky en ronflant récemment me confia :

«  Qu’est-ce que la réalité ? c'est un peu une obsession chez moi (pas que chez moi d'ailleurs, il n'y a qu'à voir chez Éric Low ou Grenouille pour s'en rendre compte) : qu'est ce que la réalité ? je me pose la question... »

On est donc nombreux à se la poser. Et depuis longtemps.

A toutes les étapes de ma vie, bébé, moyenne, ado, femme, mûre femme, oui je vais m’appeler comme çà maintenant, Mûre Femme, ya pas de quoi rire, faut bien que je m’adapte à la réalité, bon où en étais je ? Oui, donc, on m’a prévenue, un jour je deviendrais grande, responsable, adulte, tout çà. Un jour je verrai la frontière entre mon imaginaire (amour, princes, châteaux, paix dans le monde, justice, amour) et la réalité (guerres, télécommande, impôts, vivisection, bouillie d’orties)

Seulement voilà. Je ne vois rien venir. Je danse, je reste pas trop loin de ma bulle, malgré ce que les gens me disent (faut regarder les choses en face, tu te laisses trop faire, sur quelle planète vis-tu, faut être plus forte, t’as pas les pieds sur terre, patati patata).

Un jour, disaient-ils, tu finiras par t’adapter, espérons pour toi que ton cœur va rétrécir et que plus rien ne te surprendra.

Un jour, tu verras, (non pas ton prince viendra mais) tu accepteras la tristesse, la laideur, la violence, la haine, les guerres,

la mesquinerie, l’hypocrisie, l’agressivité, l’individualisme, tu trouveras çà normal, tout ce qui fait la réalité de cette drôle de chouette de vraie vie. On n’est pas là pour rigoler.

Las.

Le temps a passé.

Mes chevaliers en quête de nobles quêtes itou.

(en phonétique, çà fait: MÉCHEVALIÉENKÉTTTDENEUBLEUKÉTITOU)

(et en québécois: MINCHVALIÉINKÉTTDNOBLKÉTTCOUDON)

(c’était la minute culturelle)(pour remercier Lucien).

Bon, où en étais-je? Oui, je disais, et pourtant.

Dans la vraie vie, le nombre de fois que je me retiens de virer toutes mes fringues par-dessus la tête et de courir avec les bras levés à hurler oouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! (genre, Zidane marque son dernier but)

parce que la vraie vie est comme mille petites bulles parfumées au néroli

et que j’ai des étoiles plein la tête

parce que le monde, je le vois souvent tel que je voudrais qu’il soit, la planète entourée de lumière

et pourquoi pas ????

Dans la vraie vie, souvent, aussi on rencontre des gens étonnants.

Eh oui.

Preuve par trois:

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«  les valeurs de l’essentialisme sont celles de l’humain qui se situe dans l’univers non pas en dominant, prédateur et colonisateur, mais comme un invité à qui est proposé une belle aventure fraternelle » © 

Sylvie la yourtière  

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« Alors, ces bisous, ça vient ? »

© Gredine

.

Oui, JE VOUS JURE que c’est sur son blog que j’ai trouvé çà, déposé avec grâce par ses petits doigts décorporisés !

Comme quoi.

Une femme est TOUJOURS surprenante.

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« L’homme est un mammifère ayant une capacité empathique. Cette capacité biologique à ressentir en nous-mêmes la présence de l’autre est peut-être ce qui nous rend fondamentalement Humains. Maintenant, imaginez ce scénario :
Une météorite heurte la Terre au Pôle Sud. Elle fait un grand trou dans la banquise et répand dans l’air un nouveau virus. Ce virus a longtemps voyagé dans l’espace. Sa particularité est de déclencher une sorte de grippe sans conséquence. Mais il a d’autres particularités : il reste dans l’hôte pour toute sa vie et agit sur les centres biochimiques régissant les émotions. L’effet principal en est un surdéveloppement de la capacité empathique : tout à coup lorsque vous parlez avec violence à quelqu’un, vous vous mettez à ressentir physiquement l’angoisse que l’autre ressent à l’écoute de vos paroles. Toute violence devient par nature impossible. Aucun être humain ne peut plus porter la main sur un autre être humain sans être terrassé par la peur de l’autre qu’il peut ressentir en sa totalité. Le virus a aussi la capacité de reprogrammer l’ADN de son hôte et en quelques générations, un Homo Empathicus fait son apparition sur toute la surface du globe, reléguant l’Homo Erectus dans les limbes de la barbarie. »
© Dicky

Respect, Dicky. On va commencer par propager le virus de ton scénario.

Faites passer.

Et je vous ai gardé le meilleur pour la fin :

7 juin 2007

une lecture

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Quand mon cœur est pris dans du fil barbelé

je me mets à lire " Une vie bouleversée"

Elle m’apporte la paix et la sérénité

Elle est bien plus forte que les mots les plus forts

Elle scelle l’amour bien mieux que les encore

Avec elle c’est toujours la fête sur la planète

Elle suspend le temps et fait tourner la tête

Ses mots et rien ne peut plus me troubler

N’importe où et même dans les heures les plus sombres

elle sait me dévoiler me révèle et m’inonde

Elle aide à déposer les idées qui encombrent

Elle pousse délicatement les portes de mon âme

et celles tout doucement de mon cœur se dilatent

elle secoue mes idées et me pousse à agir

me libère à grands flots et elle me fait grandir

Elle est d’une vérité entêtante et unique

Elle me prend en otage imperceptiblement

Elle sait me montrer comment on voit vraiment

ETTY_2___Comment ouvrir son coeur

                                       et s’offrir en s’ouvrant

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Etty5_____0_

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Etty Hillesum

29 mai 2007

larmes

" arrête de pleurer comme une madeleine!" Qu’est-ce que j’ai pu l’entendre, cette expression !

Çà a commencé lorsque j’étais toute petite. A vrai dire, on était une famille de joyeux fêtards. Mais les jours de fête seulement. Ces jours-là, éclater de rire était toléré et même recommandé, et on s’en donnait à cœur joie, croyez-moi. Le problème c’est que moi je ne peux jamais m’arrêter. Or, rire c’est bruyant. Surtout le mien. Et quand je suis avec ma sœur, n’en parlons pas. C’est peut être pour çà que je me suis mise à pleurer ? En plus j’ai drôlement de la chance parce que, à ce qu’on dit, pleurer c’est un truc de filles, c’est inscrit dans nos gênes comme la satisfaction du ménage bien fait et la recette du bœuf miroton. Faut dire qu’on est si fragiles et si faibles... Pourtant, c’est pas parce que je suis une fille que je pleure. C’est parce que je suis une fille émotive. C’est pas pareil ! Et plus je vieillis, plus je pleure. Par exemple, j’ai pleuré quand Chi Ta m’a appris qu’il était grand-père pour la troisième fois. C’est vous dire si je pleure !! Oui, parce qu’en fait, on ne pleure pas forcément parce qu’on est triste ! C’est çà le truc ! On pleure aussi, et surtout parce qu’on est heureux ! (Je trouve d’ailleurs que les larmes donnent toute leur dimension à la Joie.)

Bien que ce ne soit pas un truc de mecs (forcément, puisque c‘est un truc de filles), je connais aussi des hommes qui pleurent. Damned ! Là où les femmes ont le droit, et même le devoir, d’être sensible, super nounoune et de poser nue pour une marque de lessive, on refuse à l’homme la possibilité de se montrer tel qu’en lui-même : abrupt, puéril et victime de ses émotions et de ses penchants pervers pulsions. Pourtant si çà ne tenait qu’à lui, il se laisserait aller, peuchère ! Il arrêterait de se raser, il se moucherait dans les rideaux et courrait draguer la petite du second (celle avec les gros seins). Mais c’est impossible. La société est là, tout autour, qui veille. Les femmes surtout. Elles épient. C’est ainsi. Il faut le savoir. Non pas que les hommes aient peur des femmes.. Ahahahhahaha n’importe quoi ! Elles sont tellement gentilles, avec leurs ongles incarnat et leurs lèvres pulpeuses prêtes à dévorer. En plus elles sont beaucoup, beaucoup, plein, beaucoup + que les hommes ! Ahahahahah vous êtes foutus ! Bon, c’était une blague. En réalité, les hommes n’ont pas peur des femmes. Et ceci pour une raison fort simple : ils sont aussi des femmes. Eh oui. Vous êtes comme moi hein, vous n’en revenez pas ! Mais on ne peut pas lutter contre la Science. Car c’est prouvé : même chez les hommes qui malgré tout, sont des êtres humains comme nous, il y a une part FÉMININE et une part MASCULINE ! Eh ouais. Vous êtes scotchés, hein ? Après on va s’étonner que les hommes, refoulant leurs penchants bien naturels, écartelés entre leurs incomparables instincts, obligés de retenir leur part de féminité, marchent à côté de leurs pompes.

Bon, pour illustrer mon exposé, je vous mets des photos hyper tristes.

nad_et_Fab_Franceville_1957

Quand j’étais petite, j’étais amoureuse de mon cousin,

Nad_et_fab_1957

qui au début me le rendait bien. Regardez comme il me faisait un gros câlin. (Si j’ai le visage un peu gris, c’est qu’il me serrait un peu trop fort le kiki.)

Fab_et_Nad_1972

On s’est aimés longtemps. Là, on jouait aux chaises musicales, et quand yavait plus de chaises j’atterrissais sur ses genoux.

Las ! un jour, ses regards se sont tournés vers le lointain horizon truffé de femmes. Or, vous savez comment sont les hommes (oui, parce que mon cousin est un homme !).

Et c’est comme ça qu’il en a épousé une autre.

Snif sniiiiiiffff snif !!

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