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ELLE RE-DÉBLOG
29 août 2007

la plus grande chose du monde

Celui qui aime est patient, il sait attendre ; son cœur est largement ouvert aux autres.

Fleur_carnivorer7

L’amour vrai n’est pas possessif, il ne cherche pas à accaparer, il est libre de toute envie, il ne connaît pas la jalousie.

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L’amour prend des égards et évite de blesser ou de scandaliser, il n’est pas dédaigneux.

coeur_plage

Quand on aime, on ne médite pas le mal et on ne le soupçonne pas chez les autres,

 si on subit des torts, on n’en garde pas rancune.

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Aimer, c’est faire confiance à l’autre et attendre le meilleur de lui, c’est espérer sans faiblir, sans jamais abandonner.

Fleur10

C’est savoir tout porter, tout surmonter.

                                     1 Corinthiens 13

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23 août 2007

Etty

couple_ciel

Dans ce monde saccagé, les chemins les plus courts d’un être à un autre sont des chemins intérieurs.

                                 © Etty Hillesum

19 août 2007

j'aime tant vous lire ...

lotus

C'est l'amour qui génère la lumière, le reste n'est qu' EDF.

© Philippe

photo_de_Philippe_Charpentier_juill_07

© photo de Philippe

Rompre parce que ce n’est plus pareil, c’est comme abattre un arbre qui a perdu ses feuilles en hiver en oubliant que le printemps existe. Mieux vaut se dire : « La situation n’est pas favorable en ce moment. » Cet artifice permet de s’éloigner pour réfléchir ou se protéger, sans tout casser. Et d’ouvrir la voie à l’avenir. Rien n’est définitivement écrit entre un garçon et une fille, entre un homme et une femme. A condition de ne pas s’enfermer dans des schémas, et de croire en soi.

© Françoise Simpère

pieds

Il n’y a pas de besoins bons ou mauvais, honteux ou interdits…..il n’y a que des besoins différents, qui selon avec qui on se trouve, seront plus faciles ou difficiles à vivre.

© Diane

9 août 2007

Un arbre de vie

Une langue douce est un arbre de vie.

                        Proverbes 15.4

9 août 2007

les mots sont des caresses

Pour moi tu n’aurais pas de nom, pas plus de nom que le ciel.

Et je te porterais en moi, présence sans nom, et je te ferais surgir et te transmettrais quelques gestes affectueux et tendres que j’ignorais naguère encore. Tout se passerait quelque part au-dedans de moi,

là où il y a de vastes haut-plateaux sans temps ni frontières,

et tout se passerait là.

Et me revoilà parcourant les rues et les forêts.

Comme je les ai prises souvent, et souvent avec toi, plongée dans un dialogue toujours fructueux et passionnant.

Et comme je les prendrai souvent encore, où que je sois au monde, en sillonnant les hauts plateaux intérieurs, où se déroule ma vraie vie.

Je continuerais à vivre avec cette part de toi qui a vie éternelle et je ramènerais à la vie ce qui, chez les vivants, est déjà mort : ainsi n’y aurait-t-il plus que la vie, une grande vie universelle.

ciellumiere

je me suis autorisée à plagier quelques mots écrits par Etty et à les adapter à mon émotion de ce matin

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6 août 2007

Etty

Etty5_____0_N’existe-t-il pas d’autres réalités que celle qui s’offre à nous dans les conversations irréfléchies des gens affolés ? Il y a aussi la réalité de ce petit cyclamen rose indien et celle du vaste horizon que l’on finit toujours par découvrir au-delà du tumulte et des chaos..

Le grand obstacle, c’est toujours la représentation et non la réalité. La réalité, on la prend en charge avec toute la souffrance, toutes les difficultés qui s’y attachent - on la prend en charge, on la hisse sur ses épaules et c’est en la portant que l’on accroît son endurance.

Mais la représentation de la souffrance - qui n’est pas la souffrance, car celle-ci est féconde, et peut vous rendre la vie précieuse - il faut la briser. Et en brisant ces représentations qui emprisonnent la vie derrière leurs grilles, on libère en soi-même la vie réelle avec toutes ses forces, et l’on devient capable de supporter la souffrance réelle, dans sa propre vie et dans celle de l’humanité.

                                                                   © Etty Hillesum

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